Dans un supermarché coopératif, on n’a pas de client. En effet, il est question de coopération où les employés sont tous des bénévoles et ceux qui achètent, des coopérateurs. L’objectif du concept est d’offrir dans les rayons, des produits de meilleure qualité et vendus à un prix plus bas que dans les enseignes traditionnelles.
Avec l’arrivée du supermarché coopératif en France, on peut se demander s’il y a une différence avec un supermarché traditionnel. La réponse est oui. Cela, parce que dans un supermarché coopératif, on n’a pas d’employés qui vont vous servir dans les rayons et à la caisse. Les personnes en charge de la gestion de l’endroit sont tous des bénévoles. Parallèlement, il n’y a pas de client dans ce type de supermarché, on n’a que des coopérateurs.
L’exemple parfait du supermarché coopératif se trouve à New-York,. En effet, une enseigne, le Park slope food coop, a ouvert ses portes depuis 40 ans. Dans cet endroit, les coopérateurs doivent devenir des bénévoles au moins 2h45 par mois pour espérer acheter quelque chose dans le supermarché. Actuellement, on recense 16 000 personnes actives membres de ce lieu et on doit faire une queue de 40 min avant de passer à la caisse.
En France, c’est la Louve qui a apporté le concept. Elle ouvrira ses portes prochainement, mais compte déjà 2000 membres à Paris dans le 18eme. Mais un peu partout en France, la tendance est aussi entrain de prendre de l’ampleur avec les enseignes comme Scopéli ou encore, Le panier du 12e.
