Dès 2020, les cantines scolaires, les maisons de retraite et les collectivités publiques doivent servir des repas bio faits de produits locaux et de saison.
Une décision prise par l’Assemblée Nationale pour que les enfants et les personnes âgées puissent consommer des produits locaux et surtout bio. En effet les repas doivent être constitués de 20% d’aliments bio et 40% d’aliments locaux et de saison. A titre d’exemple la Gironde a été classée en 2015 à la tête des départements les plus verts en France.
Une initiative qui permettra d’amener les citoyens vers un comportement plus éco-responsable et d’acquérir les habitudes du tri de déchets, et d’éviter le gaspillage alimentaire. Mais surtout d’avoir une bonne hygiène alimentaire et une hygiène de vie adéquate, tout en sachant que les produits qu’on consomme de nos jours ont été traités par les pesticides, des produits chimiques qui peuvent avoir des conséquences néfastes et un mauvais impact sur notre santé.
En effet plusieurs produits sont classés cancérigènes et d’autres sont qualifiés de perturbateurs endocriniens. On peut trouver dans nos repas jusqu’à 81 substances nocives et toxiques tout comme les nitrates et les métaux lourds.
On est plus de 7 milliards de bouches à nourrir, ce qui fait que les géants de l’agroalimentaire se sont tournés vers la production de masse, et les produits OGM (Organisme Génétiquement Modifié) pour satisfaire la demande pressante du marché. Ce qui fait qu’un compromis doit être trouvé et un équilibre doit être assuré entre consommer bio et approvisionner le marché.
Pour conclure, outre ses avantages et son impact sur la santé humaine, une telle décision permettra en parallèle de préserver l’environnement et promouvoir l’agriculture locale.
